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«Pour mon bal de fin d’études, j’ai été obligé, gêné, de demander à l’une de mes tantes, adepte de la «danse sociale», de m’apprendre quelques rudiments de cha-cha et quelques balbutiements de twist — la valse, j’avais à peu près compris par moi-même — pour ne pas avoir l’air trop fou le soir venu. Il me semble que je parvins à peu près à sauver la face — et les escarpins de ma cavalière. Que ma chère tante Françoise en soit à jamais bénie.

Extrait de Confections

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