(...) surtout ne pas produire un guide touristique, avec une présentation socio-historique, un index, des plans, des itinéraires, des dessins en coupe, des photos d'archives, un top ten des ruelles de Montréal; plutôt viser à faire passer quelque chose, je ne sais quoi au juste, disons par les yeux et le cœur ; opter pour une attention subjective à tout, pencher pour un pouvoir de diariste qui, pour débusquer les mystères, fait largesse de ses impressions, s'autorise à faire tenir ensemble l'éloquent et le peu signifiant, passe le moindre détail au sas de son regard et de son style.
André Carpentier, Ruelles, jours ouvrables
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Photos © G. Ménard